La tracto-vélo, ça peut aussi être du temps d'attente... des voyageurs qui arrivent en voiture, par le train...
Transmis par Catherine:
La lutte continue sur tous les fronts. Pendant que certains pédalent, d'autres déposent des recours.
Ce matin au tribunal administratif de Nantes ont été déposés 26 recours de propriétaires.
Recours sur le fond et sur la forme. L’audience aura lieu dans 1 mois.
Au total près d’1m3 de dossiers (les avocats ont dû faire sous traiter les copies).
Il y avait 20 militants ou propriétaires, 3 voitures de police, 2 agents de renseignements généraux et nos 2 avocats.
Repas chez Daniel Seguineau et Suzanne Schoellamer
à Montigny le Chartif, dans un ensemble architectural magnifique de bâtiments anciens. Mais le paysage nous laisse mal à l'aise : il n'y a pas de haies ; les cyclistes souffrent le vent dans le nez...
Marcheville, petit bourg de 600 habitants, nous offre un accueil exceptionnel : trois tracteurs sont venus chercher la caravane et la précèdent, le club des anciens (71 adhérents) nous offre du vin chaud, le maître de l'une des trois classes fait sortir ses élèves pour nous accueillir... et nous montre à tous ce que pourraient être des cours d'éducation civique...
Notre arrivée à Chartres ne passe pas inaperçue, ni notre stationnement sur la grande place : musique, discussions sur le parvis avec des chartrains, ce n'est pas le même public que dans le précédent village, et probablement bien moins réceptif à nos idées... souvent les présupposés idéologiques sont patents.
Sortie difficile de la ville, sans aucun encadrement par la gendarmerie : la nuit est tombée, notre caravane, tous gyrophares allumés, doit assurer elle-même sa sécurité ; par trois, les cyclistes, gilets fluos et drapeaux jaunes des vélos heureusement très visibles, bloquent les rues latérales ou les carrefours, puis remontent toute la caravane, dès qu'elle est passée, pour se positionner à la prochaine rue rencontrée... la technique est efficace, elle n'est pas totalement dépourvue de danger...
Ce soir, pour une unique fois, l'accueil n'est pas collectif et nous nous dispersons dans des familles amies..., après une réunion d'information très suivie.
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